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Les affinités électives de Jérôme

Les affinités électives de Jérôme
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18 septembre 2010

Rien. Existé.

Rien. Existé. 

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31 décembre 2009

Conseils importants sur les méthodes

Conseils importants sur les méthodes d’autodéfense (anti-viol)

On a interrogé un groupe de violeurs en prison, qui étaient connus ou non de leurs victimes, afin de savoir ce qu’ils recherchaient chez une victime potentielle. Il en est ressorti certains faits intéressants.

La première chose que les hommes remarquent chez une victime potentielle est sa coiffure. Ils s’en prendront vraisemblablement le plus souvent à une femme coiffée d’une queue de cheval, d’un chignon, d’une tresse ou d’une autre coiffure qu’ils peuvent facilement empoigner. Ils sont également plus susceptibles d’attaquer une femme ayant une longue chevelure. Les femmes aux cheveux courts ne sont pas des cibles habituelles.

La deuxième chose qui attire leur attention est l’habillement. Ils chercheront les femmes dont les vêtements s’enlèvent facilement et rapidement. Certains d’entre eux transportent d’ailleurs des ciseaux pour couper les vêtements.

Ils recherchent également les femmes qui parlent au cellulaire, qui sont occupées à fouiller dans leur sac à main ou qui font autre chose tout en marchant car elles ne sont pas sur leurs gardes ; il leur est alors facile d’avoir le dessus sur elles.

C’est tôt le matin, entre 5 h et 8 h 30, que les femmes courent le plus le risque d’être victimes d’attaque et de viol.

L’endroit où les femmes se font le plus souvent enlever ou attaquer est le stationnement des magasins. Le deuxième choix des violeurs se porte ensuite sur les stationnements de bureaux ou les garages. Les toilettes publiques se situent au troisième rang.

Ce qui intéresse ces hommes est de s’emparer d’une femme et de l’amener rapidement à un deuxième endroit où ils ne s’inquiéteront pas de se faire prendre.

Seulement 2 % d’entre eux disent transporter une arme, car si le viol est passible d’une peine de 3 à 5 années de prison, un viol commis sous la menace d’une arme est puni d’une peine de 15 à 20 ans de prison.

Si la victime essaie de se défendre, ils se décourageront car ils réaliseront en deux ou trois minutes qu’elle n’en vaut pas la peine ; cela prend trop de temps.

Ces hommes ont dit qu’ils n’auraient pas choisi une femme transportant un parapluie ou tout autre objet similaire pouvant être utilisé à distance. Les clés ne les découragent pas puisqu’il est nécessaire d’être très près de l’assaillant pour s’en servir comme arme. Le but est donc de convaincre ces types que vous n’en valez pas la peine.

On nous enseigne plusieurs moyens de défense. Par exemple, si quelqu’un vous suit dans la rue ou dans un garage, ou qu’il est avec vous dans un ascenseur ou un escalier, regardez-le dans les yeux et posez-lui une question, par exemple pour lui demander l’heure qu’il est, ou parlez-lui de banalités, de la température très froide ou de l’hiver rude qui s’en vient. Ainsi, vous aurez vu son visage et pourrez l’identifier dans une séance d’identification de suspects. Vous perdrez donc beaucoup d’attrait comme cible potentielle.

Si quelqu’un se dirige vers vous, brandissez vos mains en face de vous et criez " Arrête ! " ou " Reste où tu es ! ". La plupart des violeurs qui ont été interrogés ont dit qu’ils laisseraient une femme tranquille si elle criait ou qu’elle démontrait qu’elle n’a pas peur de se défendre. Il faut se rappeler que ce qu’ils recherchent est une cible FACILE.

Si vous transportez du gaz poivré (l’instructeur à qui nous avons parlé est un adepte inconditionnel de ce produit et en transporte partout avec lui), criez J’AI DU GAZ POIVRÉ ! et tenez-le en face de vous : ce sera un geste dissuasif.

Si quelqu’un vous attrape, vous ne pourrez pas l’avoir par la force mais plutôt par la ruse. Si on vous a empoignée par la taille en se tenant derrière vous, pincez le bras de votre assaillant, entre le coude et l’aisselle ou dans le haut de l’intérieur de la cuisse - AVEC FORCE. Une femme qui assistait à une classe donnée par l’instructeur lui a dit avoir pincé tellement fort le dessous du bras d’un homme qui tentait de la violer lors d’une sortie, tant elle était bouleversée, qu’elle lui a traversé la peau et déchiré la fibre musculaire ; le type a eu besoin de points de suture. Essayez de vous pincer à ces endroits le plus fort que vous pouvez ; vous verrez, c’est douloureux !

Après avoir asséné le premier coup, visez toujours l’aine. Je sais, à cause d’une expérience malheureuse particulière, qu’une claque sur les parties génitales d’un homme est extrêmement douloureux. Vous pouvez penser que vous mettrez l’homme en colère et qu’il voudra vous faire encore plus mal, mais ce que les violeurs ont dit à notre instructeur est qu’ils veulent une femme qui ne leur causera pas trop d’ennuis. Alors, donnez-lui du fil à retordre et il voudra s’en aller.

Lorsque le type lève ses mains vers vous, prenez-lui les deux index et pliez-les vers l’arrière le plus loin possible, en exerçant autant de pression que vous le pouvez. L’instructeur a fait cet exercice avec moi sans mettre trop de pression, et je suis tombée à genoux. J’ai entendu mes deux jointures craquer.

Bien entendu, les choses que l’on entend habituellement sont toujours valables. Portez toujours attention à votre environnement, ne soyez pas seule si vous le pouvez, et si vous observez un comportement étrange, ne le négligez pas et fiez-vous à votre instinct. Il se peut que vous vous trouviez un peu ridicule parfois, mais vous vous sentiriez bien plus mal si le type en question voulait vraiment s’en prendre à vous.

APRÈS AVOIR LU CE QUI PRÉCÈDE, ENVOYEZ-LE À CHAQUE FEMME QUE VOUS CONNAISSEZ. CE SONT DES TRUCS SIMPLES MAIS QUI POURRAIENT LUI SAUVER LA VIE. Si vous avez des filles, partagez ces renseignements avec elles.

27 novembre 2009

Quelques sites que je fréquente assidûment...

http://blog.policedugout.fr/         

La traque aux fautes de goût

http://bellaciao.org/fr/          

Politique, société

http://www.toupie.org/index.html          

Politique, société

http://www.deviantart.com/#       

Photos, peintures et dessins

http://www.grattable.com/       

Partitions et tablatures au format GuitarPro

http://www.hoaxbuster.com/index.php       

Les fausses rumeurs d'Internet

http://penseeunique.com/            

Politique - Combattre la Pensée Unique

http://www.sceptiques.qc.ca/   

Les Sceptiques du Québec - Chasse aux mensonges

http://danstonchat.com/   

Anciennement Bash.fr - le bêtisier des dialogues en direct

27 novembre 2009

Les échecs...

JeuEchecs

La partie surnommée "L'Immortelle"
Adolf Anderssen - Lionel Kieseritzky

Londres, 1851
Gambit du roi

1. e4 e5 2. f4 exf4 3. Fc4 Dh4+ 4. Rf1 b5
C'est Kieseritzky qui a découvert ce coup. Le but est d'écarter le fou du roi de la diagonale a2-g8, tout en préparant une attaque ultérieure de pions.
5. Fxb5 Cf6 6. Cf3 Dh6
Ici, les noirs se trompent. La place de la dame est en h5. Ce coup vient à l'encontre de la suite logique du coup en 5.
7. d3 Ch5 8. Ch4! Dg5 9. Cf5! c6 10. g4 Cf6
Les noirs sont maintenant acculés à la défensive.
11. Tg1!
Ce magnifique sacrifice du fou ôte tout espoir de contre-attaque aux noirs. Les pièces noires développées doivent retourner à leur base.
11...cxb5 12. h4 Dg6 13. h5 Dg5 14. Df3 Cg8
À cause de 15. Fxf4, les noirs sont contraints d'assurer une case de retraite pour leur dame. Un cas tragi-comique !
15. Fxf4 Df6 16. Cc3
Toutes les pièces noires sont revenues à leur base, ou presque.
16...Fc5 17. Cd5! Dxb2 18. Fd6! Fxg1
Les noirs ne peuvent prendre le Fd6, car la suite est forcée : 18...Fxd6 19. Cxd6+ Rd8 20. Cxf7+ Re8 21. Cd6+ Rd8 22. Df8 mat. Les Blancs ont une telle avance de développement que la décision ne saurait tarder.
19. e5!
La dame noire est privée de la grande diagonale. Une menace de mat, commençant par 20. Cxg7+, est aussi dans l'air.
19...Dxa1+ 20. Re2 Ca6
Kieseritzky s'imagine que la menace de mat est écartée, car la case c7 est protégée. C'est maintenant qu'Anderssen le surprend !
21. Cxg7+ Rd8 22. Df6+!! Cxf6 23. Fe7 mat

26 novembre 2009

Sérénité

| Bm7 |   D   |   E7  |   G7   | (funky)

Je me sens tellement mieux
Depuis que j'ai décidé
De ne pas être heureux

Je me sens tellement mieux
Depuis que j'ai compris
Que je ne serai jamais heureux

Je me sens tellement bien
Depuis que je n'espère plus rien

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26 novembre 2009

Lettre de Michel Onfray

  Monsieur le Président, je vous fais une lettre, que vous lirez peut-être, si vous avez le temps. Vous venez de manifester votre désir d'accueillir les cendres d'Albert Camus au Panthéon, ce temple de la République au fronton duquel, chacun le sait, se trouvent inscrites ces paroles : "Aux grands hommes, la patrie reconnaissante". Comment vous donner tort puisque, de fait, Camus fut un grand homme dans sa vie et dans son oeuvre et qu'une reconnaissance venue de la patrie honorerait la mémoire de ce boursier de l'éducation nationale susceptible de devenir modèle dans un monde désormais sans modèles.

  De fait, pendant sa trop courte vie, il a traversé l'histoire sans jamais commettre d'erreurs : il n'a jamais, bien sûr, commis celle d'une proximité intellectuelle avec Vichy. Mieux : désireux de s'engager pour combattre l'occupant, mais refusé deux fois pour raisons de santé, il s'est tout de même illustré dans la Résistance, ce qui ne fut pas le cas de tous ses compagnons philosophes. De même, il ne fut pas non plus de ceux qui critiquaient la liberté à l'Ouest pour l'estimer totale à l'Est : il ne se commit jamais avec les régimes soviétiques ou avec le maoïsme.

  Camus fut l'opposant de toutes les terreurs, de toutes les peines de mort, de tous les assassinats politiques, de tous les totalitarismes, et ne fit pas exception pour justifier les guillotines, les meurtres, ou les camps qui auraient servi ses idées. Pour cela, il fut bien un grand homme quand tant d'autres se révélèrent si petits.

  Mais, Monsieur le Président, comment justifierez-vous alors votre passion pour cet homme qui, le jour du discours de Suède, a tenu à le dédier à Louis Germain, l'instituteur qui lui permit de sortir de la pauvreté et de la misère de son milieu d'origine en devenant, par la culture, les livres, l'école, le savoir, celui que l'Académie suédoise honorait ce jour du prix Nobel ? Car, je vous le rappelle, vous avez dit le 20 décembre 2007, au palais du Latran : "Dans la transmission des valeurs et dans l'apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé." Dès lors, c'est à La Princesse de Clèves que Camus doit d'être devenu Camus, et non à la Bible.

  De même, comment justifierez-vous, Monsieur le Président, vous qui incarnez la nation, que vous puissiez ostensiblement afficher tous les signes de l'américanophilie la plus ostensible ? Une fois votre tee-shirt de jogger affirmait que vous aimiez la police de New York, une autre fois, torse nu dans la baie d'une station balnéaire présentée comme très prisée par les milliardaires américains, vous preniez vos premières vacances de président aux Etats-Unis sous les objectifs des journalistes, ou d'autres fois encore, notamment celles au cours desquelles vous avez fait savoir à George Bush combien vous aimiez son Amérique.

  Savez-vous qu'Albert Camus, souvent présenté par des hémiplégiques seulement comme un antimarxiste, était aussi, et c'est ce qui donnait son sens à tout son engagement, un antiaméricain forcené, non pas qu'il n'ait pas aimé le peuple américain, mais il a souvent dit sa détestation du capitalisme dans sa forme libérale, du triomphe de l'argent roi, de la religion consumériste, du marché faisant la loi partout, de l'impérialisme libéral imposé à la planète qui caractérise presque toujours les gouvernements américains. Est-ce le Camus que vous aimez ? Ou celui qui, dans Actuelles, demande "une vraie démocratie populaire et ouvrière", la "destruction impitoyable des trusts", le "bonheur des plus humbles d'entre nous" (Œuvres complètes d'Albert Camus, Gallimard, "La Pléiade", tome II, p. 517) ?

  Et puis, Monsieur le Président, comment expliquerez-vous que vous puissiez déclarer souriant devant les caméras de télévision en juillet 2008 que, "désormais, quand il y a une grève en France, plus personne ne s'en aperçoit", et, en même temps, vouloir honorer un penseur qui n'a cessé de célébrer le pouvoir syndical, la force du génie colérique ouvrier, la puissance de la revendication populaire ? Car, dans L'Homme révolté, dans lequel on a privilégié la critique du totalitarisme et du marxisme-léninisme en oubliant la partie positive - une perversion sartrienne bien ancrée dans l'inconscient collectif français... -, il y avait aussi un éloge des pensées anarchistes françaises, italiennes, espagnoles, une célébration de la Commune, et, surtout, un vibrant plaidoyer pour le "syndicalisme révolutionnaire" présenté comme une "pensée solaire" (t. III, p. 317).

  Est-ce cet Albert Camus qui appelle à "une nouvelle révolte" libertaire (t. III, p. 322) que vous souhaitez faire entrer au Panthéon ? Celui qui souhaite remettre en cause la "forme de la propriété" dans Actuelles II (t. III, p. 393) ? Car ce Camus libertaire de 1952 n'est pas une exception, c'est le même Camus qui, en 1959, huit mois avant sa mort, répondant à une revue anarchiste brésilienne, Reconstruir, affirmait : "Le pouvoir rend fou celui qui le détient" (t. IV, p. 660). Voulez-vous donc honorer l'anarchiste, le libertaire, l'ami des syndicalistes révolutionnaires, le penseur politique affirmant que le pouvoir transforme en Caligula quiconque le détient ?

  De même, Monsieur le Président, vous qui, depuis deux ans, avez reçu, parfois en grande pompe, des chefs d'Etat qui s'illustrent dans le meurtre, la dictature de masse, l'emprisonnement des opposants, le soutien au terrorisme international, la destruction physique de peuples minoritaires, vous qui aviez, lors de vos discours de candidat, annoncé la fin de la politique sans foi ni loi, en citant Camus d'ailleurs, comment pourrez-vous concilier votre pragmatisme insoucieux de morale avec le souci camusien de ne jamais séparer politique et morale ? En l'occurrence une morale soucieuse de principes, de vertus, de grandeur, de générosité, de fraternité, de solidarité.

  Camus parlait en effet dans L'Homme révolté de la nécessité de promouvoir un "individualisme altruiste" soucieux de liberté autant que de justice. J'écris bien : "autant que". Car, pour Camus, la liberté sans la justice, c'est la sauvagerie du plus fort, le triomphe du libéralisme, la loi des bandes, des tribus et des mafias ; la justice sans la liberté, c'est le règne des camps, des barbelés et des miradors. Disons-le autrement : la liberté sans la justice, c'est l'Amérique imposant à toute la planète le capitalisme libéral sans états d'âme ; la justice sans la liberté, c'était l'URSS faisant du camp la vérité du socialisme. Camus voulait une économie libre dans une société juste. Notre société, Monsieur le Président, celle dont vous êtes l'incarnation souveraine, n'est libre que pour les forts, elle est injuste pour les plus faibles qui incarnent aussi les plus dépourvus de liberté. 

  Les plus humbles, pour lesquels Camus voulait que la politique fût faite, ont nom aujourd'hui ouvriers et chômeurs, sans-papiers et précaires, immigrés et réfugiés, sans-logis et stagiaires sans contrats, femmes dominées et minorités invisibles. Pour eux, il n'est guère question de liberté ou de justice... Ces filles et fils, frères et soeurs, descendants aujourd'hui des syndicalistes espagnols, des ouvriers venus d'Afrique du Nord, des miséreux de Kabylie, des travailleurs émigrés maghrébins jadis honorés, défendus et soutenus par Camus, ne sont guère à la fête sous votre règne. Vous êtes-vous demandé ce qu'aurait pensé Albert Camus de cette politique si peu altruiste et tellement individualiste ? 

  Comment allez-vous faire, Monsieur le Président, pour ne pas dire dans votre discours de réception au Panthéon, vous qui êtes allé à Gandrange dire aux ouvriers que leur usine serait sauvée, avant qu'elle ne ferme, que Camus écrivait le 13 décembre 1955 dans un article intitulé "La condition ouvrière" qu'il fallait faire "participer directement le travailleur à la gestion et à la réparation du revenu national" (t. III, p. 1059) ? Il faut la paresse des journalistes reprenant les deux plus célèbres biographes de Camus pour faire du philosophe un social-démocrate...

  Car, si Camus a pu participer au jeu démocratique parlementaire de façon ponctuelle (Mendès France en 1955 pour donner en Algérie sa chance à l'intelligence contre les partisans du sang de l'armée continentale ou du sang du terrorisme nationaliste), c'était par défaut : Albert Camus n'a jamais joué la réforme contre la révolution, mais la réforme en attendant la révolution à laquelle, ces choses sont rarement dites, évidemment, il a toujours cru - pourvu qu'elle soit morale.

  Comment comprendre, sinon, qu'il écrive dans L'Express, le 4 juin 1955, que l'idée de révolution, à laquelle il ne renonce pas en soi, retrouvera son sens quand elle aura cessé de soutenir le cynisme et l'opportunisme des totalitarismes du moment et qu'elle "réformera son matériel idéologique et abâtardi par un demi-siècle de compromissions et (que), pour finir, elle mettra au centre de son élan la passion irréductible de la liberté" (t. III, p. 1020) - ce qui dans L'Homme révolté prend la forme d'une opposition entre socialisme césarien, celui de Sartre, et socialisme libertaire, le sien... Or, doit-on le souligner, la critique camusienne du socialisme césarien, Monsieur le Président, n'est pas la critique de tout le socialisme, loin s'en faut ! Ce socialisme libertaire a été passé sous silence par la droite, on la comprend, mais aussi par la gauche, déjà à cette époque toute à son aspiration à l'hégémonie d'un seul. 

  Dès lors, Monsieur le Président de la République, vous avez raison, Albert Camus mérite le Panthéon, même si le Panthéon est loin, très loin de Tipaza - la seule tombe qu'il aurait probablement échangée contre celle de Lourmarin... Mais si vous voulez que nous puissions croire à la sincérité de votre conversion à la grandeur de Camus, à l'efficacité de son exemplarité (n'est-ce pas la fonction républicaine du Panthéon ?), il vous faudra commencer par vous. 

  Donnez-nous en effet l'exemple en nous montrant que, comme le Camus qui mérite le Panthéon, vous préférez les instituteurs aux prêtres pour enseigner les valeurs ; que, comme Camus, vous ne croyez pas aux valeurs du marché faisant la loi ; que, comme Camus, vous ne méprisez ni les syndicalistes, ni le syndicalisme, ni les grèves, mais qu'au contraire vous comptez sur le syndicalisme pour incarner la vérité du politique ; que, comme Camus, vous n'entendez pas mener une politique d'ordre insoucieuse de justice et de liberté ; que, comme Camus, vous destinez l'action politique à l'amélioration des conditions de vie des plus petits, des humbles, des pauvres, des démunis, des oubliés, des sans-grade, des sans-voix ; que, comme Camus, vous inscrivez votre combat dans la logique du socialisme libertaire... 

  A défaut, excusez-moi, Monsieur le Président de la République, mais je ne croirai, avec cette annonce d'un Camus au Panthéon, qu'à un nouveau plan de communication de vos conseillers en image. Camus ne mérite pas ça. Montrez-nous donc que votre lecture du philosophe n'aura pas été opportuniste, autrement dit, qu'elle aura produit des effets dans votre vie, donc dans la nôtre. Si vous aimez autant Camus que ça, devenez camusien. Je vous certifie, Monsieur le Président, qu'en agissant de la sorte vous vous trouveriez à l'origine d'une authentique révolution qui nous dispenserait d'en souhaiter une autre. 

  Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à mes sentiments respectueux et néanmoins libertaires.

26 novembre 2009

Un bon et vieux souvenir...

ProgFeteMusique2001Fête de la Musique 2001

Dijon - Place du Théâtre

26 novembre 2009

Je joue de la guitare pour personne (blues)

| E7 | A7 | E7 | B7 | E7 | A7 | B7-A7 | E7 | B7-A7 | E7 |

| A7 | A7 | E7 | E7 | A7 | A7 | B7 | C7- B7 |

Assis sur mon lit à rêvasser
Oh des rêves on en a jamais assez
De Led Zeppelin ou bien des Rolling Stones
Je joue de la guitare pour personne

A sans arrêt gratter j'oublie tout le reste
Tous ces gens qui m'en veulent et qui me détestent
Rien à  foutre du téléphone qui sonne
Quand j'ai ma guitare, j'suis là pour personne

Et si je joue aux doigts ces trois accords
C'est qu'j'ai la flemme d'chercher un médiator
Peu importe si c'est nul ou si ça sonne
Je joue de la guitare pour personne

L'autre a dit et je m'en souviens par coeur
Sans la musique la vie serait une erreur
En tout cas elle serait bien plus monotone
Que d'jouer d'la guitare pour personne

Pour tous ceux qui ont traversé ma vie
M'apportant du soleil ou bien de la pluie
Je me dis et là à peine je déconne
Une guitare ça ne ment à personne

Et si un jour je pense que j'ai trop saigné
Sûr désormais que j'n'ai plus rien à y gagner
Je m'en irai au vent mauvais de l'automne
Et je ne veux manquer à personne

23 septembre 2009

Grippe H1N1 : Une fabuleuse escroquerie planétaire

Grippe H1N1 : une fabuleuse escroquerie planétaire

 

Jean-Jacques Crèvecœur a une formation en physique quantique théorique (Université de Namur, Belgique), il a obtenu le prix du meilleur mémoire belge de physique en 1984, et une bourse de recherche pour accomplir un doctorat en physique quantique.
Auteur de plusieurs livres, il a réalisé de nombreuses formations en entreprise.
Egalement philosophe, il s’est spécialisé dans l’étude critique du fonctionnement des sciences, en particulier l’épistémologie* de la médecine.

> Madame, Monsieur,
> Chers amis,
>
> Je vous avais promis de vous informer. C’est ce que je fais. En attendant la sortie de ma première capsule vidéo, je vous écris. Parce que c’est plus fort que moi. Et parce que les jours nous sont comptés. (...)

> Si vous croyez encore naïvement que le plan de vaccination obligatoire n’aura pas lieu, je vous invite à tenter de répondre aux questions que je me pose depuis que je suis ce dossier de la grippe porcine.
> (...)

> ° pourquoi, Madame Bachelot (ministre de la santé en France) a-t-elle demandé début février 2009, à un groupe de légistes constitutionnalistes, un mémo sur la question suivante : l’imposition d’un plan de vaccination à toute la population serait-elle illégale et anticonstitutionnelle ? Ce sur quoi les experts l’ont rassurée, invoquant qu’une situation exceptionnelle et qu’un état d’urgence sanitaire justifiait amplement qu’on supprime toutes les libertés individuelles !
> ° pourquoi l’Organisation Mondiale de la Santé a-t-elle modifié, le 27 avril 2009, sa définition de la pandémie ? Auparavant, pour déclarer une pandémie, les contraintes étaient beaucoup plus sévères ! Maintenant, il suffit que la maladie soit identifiée dans deux pays d’une même zone OMS !

> ° comment se fait-il que le brevet du vaccin contre la grippe porcine (H1N1) a été déposé en 2007 (bien avant la réapparition du virus disparu depuis la fameuse épidémie de grippe espagnole, en 1918) ?

> ° par quel hasard le président Sarkozy a-t-il eu l’intuition d’aller signer un contrat d’investissement d’un montant de 100 millions d’euros, le 9 mars 2009, pour la construction d’une usine de fabrication de vaccins contre la grippe ? Et devinez où ! Au Mexique, là où justement, le foyer de la pandémie a pris naissance !

> ° pourquoi aucun média et aucun expert scientifique ne rappellent que la grippe ordinaire tue chaque année entre 250.000 et 500.000 personnes, soit plus de 1.000 morts par jour (ce sont les chiffres officiels de l’Organisation Mondiale de la Santé) ?

> ° pourquoi tous les médias du monde répètent-ils quotidiennement que le virus de la grippe A H1N1 va provoquer une hécatombe de victimes, alors que les faits démontrent qu’il s’agit d’une simple grippette (moins grave que la grippe saisonnière ordinaire) qui n’a fait que 2.000 morts en plus de cinq mois ? La grippe ordinaire en aurait fait, pendant ce même laps de temps, 200.000 morts !

> ° pourquoi, malgré ces chiffres de morbidité et de mortalité insignifiants (2.000 au lieu de 200.000), la plupart des pays du Monde ont passé des commandes faramineuses pour des centaines de millions de doses de vaccin, et ce, dès le mois de juin 2009 ?

> ° autrement dit, pourquoi met-on en place des mesures exceptionnelles cette année, alors que la grippe est moins virulente que les autres années ? Qu’est-ce qui, dans les faits, justifie de telles décisions alors qu’il n’y a rien d’exceptionnel ?

> ° pourquoi des lois d’exception (lois martiales) ont-elles déjà été votées dans la plupart des pays (sans en révéler le contenu) ?

> ° pourquoi le Ministre de l’Intérieur Français a-t-il rappelé tous les réservistes de l’armée et de la gendarmerie, en février 2009, en vue (je cite) « de graves troubles sociaux prévus pour la fin de l’été 2009 » (c’est-à-dire septembre) ?

> ° pourquoi l’armée américaine vient d’être déployée sur tout le territoire des Etats-Unis ?

> ° pourquoi plus de 800 camps de concentration ont-ils été installés aux Etats-Unis, ces dernières années (pour l’instant, ils sont vides) ? Pourquoi sont-ils gérés par la FEMA (Federal Emergency Management Agency), qui intervient lors des grandes catastrophes sur le territoire (comme lors du cyclone Katrina) ?
> ° pourquoi des centaines de milliers de cercueils sont-ils entreposés dans tous les états américains et pourquoi des fosses communes ont été creusées dans chaque district ?

> ° pourquoi 600 neurologues britanniques ont-ils reçu, le 29 juillet 2009, une lettre confidentielle du Health Protection Agency (HPA), les invitant à être particulièrement attentifs à la future recrudescence du syndrome de Guillain Barré (maladie neurologique dégénérative gravissime déclenchée la plupart du temps par l’acte vaccinal) ? Et pourquoi cette même agence n’a-t-elle pas prévenu le public qui va « bénéficier » de cette campagne de vaccination ?

> ° comment se fait-il que le 5 mars 2009, la firme Baxter a contaminé 72 kg de matériel vaccinal, mélangeant les virus H5N1 de la grippe aviaire et H3N2 de la grippe ordinaire, avant de les envoyer dans six pays différents, alors que les procédures de sécurité dans ce genre de laboratoire rendent cet accident absolument impossible ? Impossible sauf si l’acte devient volontaire. Cela m’a été confirmé par un docteur en biologie.

> ° pourquoi ne nous dit-on pas que le vaccin contre la grippe, depuis 40 ans qu’il existe, n’a jamais eu d’impact positif sur l’incidence de cette maladie, au contraire ? Une étude internationale a démontré que les vaccinés attrapaient plus souvent la grippe que les non-vaccinés.

> ° pourquoi nous cache-t-on qu’en 1918, ce sont les personnes vaccinées qui sont mortes de la grippe espagnole, et pas les non-vaccinées ? Cela voudrait-il dire qu’elles ont été tuées par le vaccin lui-même, et pas par la grippe ?

> ° si les vaccins ont si peu d’effets secondaires, comment les autorités sanitaires expliquent-elles que le nombre de scléroses en plaques en France est passé de 25.000 à 85.000, suite à la campagne de vaccination contre l’hépatite B ?

> ° pourquoi nous cache-t-on que toutes les épidémies du XXe siècle ont été déclenchées par des campagnes de vaccination préalables ?

> ° pourquoi autorise-t-on de mettre dans le futur vaccin contre la grippe H1N1, un adjuvant tel que le squalène (dans une proportion un million de fois plus importante – j’ai revérifié les calculs, car je n’y croyais pas !), alors que la Chambre des Représentants l’avait reconnu explicitement responsable du syndrome de la première guerre du Golfe, syndrome qui avait rendu 180.000 GI’s malades (25 % des soldats) suite à l’injection du vaccin contre l’anthrax ? À noter que le squalène avait été interdit par un juge fédéral en 2004 !

> ° pourquoi les premières populations visées par la vaccination sont-elles les femmes enceintes et les enfants, alors qu’habituellement, ce sont les vieux qu’on vise ? Eux, paraît-il, auraient une mémoire immunitaire de la grippe espagnole de 1918 !!!

> ° pourquoi les procédures de vaccination obligatoire seront-elles confiées, non pas à des médecins, mais à des étudiants volontaires et des militaires ?
> ° pourquoi aucun médecin et aucun hôpital ne pourra dispenser les vaccins eux-mêmes ? Craindraient-ils de faux certificats ?

> ° pourquoi 50 % des médecins anglais disent qu’ils refuseront de se faire vacciner avec le nouveau vaccin, parce qu’ils n’ont pas confiance en la procédure de préparation ?

> ° pourquoi présente-t-on le Tamiflu comme un antiviral efficace, alors que toutes les campagnes d’utilisation de ce produit se sont révélées catastrophiquement inefficaces ? De plus, ce médicament provoque de nombreux désordres psychologiques et neuronaux, allant jusqu’à provoquer des suicides en nombre chez ceux qui en consomment !

> ° pourquoi les autorités sanitaires, censées vouloir notre bien et notre protection, autorisent-elles qu’un nouveau type de vaccin (ce sont leurs mots) soit testé directement sur des centaines de millions de cobayes (c’est-à-dire nous), sans que les protocoles normaux de Mise en Marché ne soient respectés, et sans aucune garantie d’innocuité dudit vaccin ?
>
> Je pourrais continuer comme cela encore des heures. Mais je m’arrête là, car les autres questions iraient toujours dans le même sens. Je n’ai plus le temps, pour l’instant, de vous mettre toutes les références d’articles des journaux officiels (le Monde, le Figaro, le Daily Post, le Journal du dimanche, etc.), des sites officiels (de l’OMS, de Baxter, d’Aventis, de Sanofi-Pasteur, etc.) et des déclarations de scientifiques pro-vaccinalistes que j’ai consultées ! Vous trouverez tout cela sur mon site, d’ici la fin du mois de septembre.

> Mais je vous garantis sur l’honneur que toutes les questions que je pose ci-dessus se basent uniquement sur des lectures de documents officiels et accessibles à tous ! Ce ne sont pas des allégations, des suppositions, des supputations de théoriciens du grand complot ! C’est cela qui fait qu’il est impératif de se poser de telles questions ! Et de tirer les conclusions qui s’imposent.
> Pour ma part, c’est fait. Et j’ai pris position clairement.
> Autrement dit, tant qu’on ne m’obligera pas à fermer ma gueule, je continuerai à vous informer.

>

Il y a, par contre, une question que je vais poser ici et à laquelle je vais répondre, car beaucoup de mes interlocuteurs ne comprennent pas cela (j’ai reçu des centaines de courriels en une semaine !!! Merci à ceux qui m’ont traité de pauvre connard et de manipulateur. Merci surtout à tous ceux qui ont relayé l’information à des dizaines de milliers de personnes en Europe et au Canada. Merci particulièrement à tous ceux qui prient pour moi, pour l’instant. J’ai été très touché et ému.)

> La question est : comment un virus aussi bénin va-t-il s’y prendre pour tuer des millions de personnes ? Ça, c’est la question à un million de dollars !!!
> Eh bien c’est l’histoire des pandémies du passé qui nous apporte la réponse. La recette est simple (en douze étapes, déjà expérimentées en 1918 avec succès) :
> 1. on annonce qu’un foyer d’une nouvelle grippe vient d’apparaître au Mexique et que c’est très grave, car c’est un virus animal qui s’est transmis à l’homme !
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2. on annonce ensuite 350 morts en une semaine, pour rectifier ensuite le décompte à 8 morts. Mais tout le monde a retenu qu’il y avait eu beaucoup de morts dès le début (ça ne vous rappelle rien, ça : le 11 septembre, on nous a annoncé à la télévision 40 à 50.000 morts dans les Twin Towers – ce qui a justifié la croisade contre les forces du Mal – puis, on a révisé le nombre de morts à 2.974) ;
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3. on annonce à grand renfort de publicité quotidienne que ce terrible virus se propage à une vitesse incroyable sur toute la planète (alors que par ailleurs, aucun laboratoire du monde ne dispose de la souche du virus pour confirmer que c’est bien ce virus qui est en cause, et pas le virus ordinaire – on reconnaît par ailleurs que la grippe porcine ne présente aucun symptôme spécifique par rapport à ceux de la grippe ordinaire – alors, comment font-ils pour compter le nombre de cas ???) ;
>

4. devant le peu de virulence dudit virus, on nous annonce que ce gentil virus (finalement) va muter et va devenir TRÈS méchant, et que l’on sait qu’il va muter à une date précise (celle de la sortie des vaccins, quelle coïncidence quand même !) ;
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5. pendant tout ce temps, on prépare des produits en laboratoire dont on dit qu’ils sont des vaccins, et dans lesquels on mélange deux souches de la grippe porcine, deux souches de la grippe aviaire et une souche de la grippe humaine (cocktail tout à fait explosif, lorsqu’il sera injecté dans le corps !). De plus, on rajoute (en plus grande quantité que d’habitude) des adjuvants (mercure, aluminium et squalène), reconnus pour leur grande toxicité ;
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6. peu avant la sortie des soi-disant vaccins (qui sont en réalité, ici, des armes bactériologiques), les médias se déchaînent pour nous annoncer qu’il y a une recrudescence de cas de grippe. Même si les médecins ne prennent plus la peine de vérifier s’il s’agit bien du même virus, le peuple est tellement hypnotisé qu’il ne réfléchit plus. Il est persuadé que la mutation annoncée est en train de se réaliser ;
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7. on annonce aussi que tous les vaccins ne seront pas disponibles immédiatement et qu’il y aura des chanceux qui pourront en bénéficier tout de suite, et d’autres devront attendre jusqu’à quatre mois pour enfin recevoir le vaccin salvateur ! À noter que nous en sommes là, pour l’instant, dans la chronologie des événements.
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8. dès la sortie des premières armes bactériologiques déguisées en vaccins, le bon peuple apeuré court se faire vacciner volontairement, dans les centres spécialement préparés à cet effet (et encadrés par des militaires). Ici au Canada, les gens s’inscrivent sur des listes d’attente pour être certains d’être parmi les premiers vaccinés !
>

9. dès l’injection du vaccin, le cocktail préparé soigneusement par les laboratoires entraîne la mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du patient, rendant les virus extrêmement mortels. Dans le même temps, les adjuvants auront mis par terre le système immunitaire. La Tamiflu sera utilisé pour provoquer une surinfection (cas déjà observés dans plusieurs pays) entraînant immédiatement la mort de la personne. Conséquence : il y aura des milliers de morts parmi les premières populations vaccinées ;
>

10. on nous dira alors que, malheureusement, ce qu’on craignait est arrivé : le virus a muté sous une forme mortelle. On attribuera la cause des décès au virus, et pas au gentil vaccin censé nous protéger ! Une panique s’emparera de la population, qui réclamera qu’on les vaccine d’urgence ;
>

11. vu la gravité de la situation sanitaire, vu les troubles engendrés, d’une part par ceux qui réclameront avec force leur vaccin, d’autre part par ceux qui accuseront les autorités sanitaires de génocidaires, l’état d’urgence sera déclaré dans tout le pays et le plan de vaccination obligatoire sera mis en place ;
>

12. ceux qui refuseront de se faire vacciner devront se cacher ou disparaître pendant un temps suffisamment long, à moins qu’on ne les fasse disparaître dans des camps de concentration prévus à cet effet.
> Ce scénario, je vous l’écris en cette nuit du 9 au 10 septembre 2009. Je ne le fais pas du tout de gaieté de coeur.
> Je sais que certains parmi vous me reprocheront d’alimenter la peur qui est déjà créée par les élites lumineuses, et de finalement, faire le jeu de ceux que je dénonce. À cela, je vous citerai une phrase de Jésus-Christ (même si je n’appartiens plus à aucune religion) : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres ! » (Jean 8:32).
> Je vous offre ici une synthèse de tout ce que j’ai lu depuis cinq mois (dont deux mois à temps plein). Mon objectif, c’est de décrypter pour vous les informations qui nous sont cachées (même si elles sont disponibles publiquement – faites vos recherches avec Google – vous verrez !), afin que vous ne cédiez pas à la panique lorsque l’hécatombe commencera. Afin que vous compreniez quelle est la cause réelle de ce que vous verrez.
>

Maintenant, que pouvons-nous faire, me direz-vous ?
> Pour l’instant, la chose qui me paraît la plus importante, c’est que vous diffusiez cette information à TOUS vos contacts. Imprimez ce courriel, découpez-le en morceaux s’il vous paraît trop long, donnez-le à tous vos amis, à toutes vos connaissances. Si vous êtes parents d’enfants allant à l’école, constituez immédiatement des comités de résistance à ce plan génocidaire. Dans trois semaines, il sera trop tard. Et vous devez savoir que les écoles seront bouclées pour pouvoir vacciner vos enfants. Si vous n’êtes pas organisés maintenant, vous serez démunis le 28 septembre, lorsque le plan se mettra en marche. Allez parler à tous les policiers, à tous les gendarmes que vous connaissez car eux aussi, sont maintenus dans l’ignorance de ce plan (et ils ne seront pas vaccinés par les mêmes produits, pour ne pas tomber malades, eux !). Expliquez-leur qu’ils vont participer, sans le savoir, à un génocide programmé contre la population. Rappelez-vous que si les nazis ont pu déporter autant de personnes vers les camps de la mort, c’est parce qu’ils ont bénéficié de l’aide de la police française qui n’avait pas compris ce qui se passait. Allez parler aussi à vos représentants politiques, car la plupart d’entre eux ne savent pas ce qui se trame. Demandez-leur de ne pas coopérer, de saboter le plan, de faire détruire les fichiers de population, pour que le recensement des vaccinés et des non vaccinés devienne un casse-tête.
> Cette activité devrait devenir votre tâche prioritaire. Car la seule manière d’enrayer ce plan diabolique, c’est de réunir une masse critique de gens conscients. Gandhi ne disait-il pas : « un individu conscient et debout est bien plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et inconscients. » J’en suis convaincu.
> Par contre, ne perdez pas votre temps avec les hauts dirigeants de l’État, les grands médias et les experts payés (achetés) par les laboratoires pharmaceutiques. Ne perdez pas non plus votre temps avec les sceptiques, les indécrottables du petit écran pour qui seule la parole des médias est l’évangile. Méfiez-vous même de leur réaction, car ils pourraient vous accuser de chercher à les tuer en les empêchant de se faire vacciner.
> Et si vous avez peur en lisant mon courriel, transformez cette peur en action, en mouvement. C’est toujours comme cela que l’humanité a fait des bonds dans son évolution : c’est en transformant sa peur du feu en maîtrise du feu que l’homme a inventé la technique. Ici, l’enjeu est de taille.
>

Personnellement, je suis très conscient de ce que je risque en prenant cette position, à découvert. Depuis quelque temps, je vis avec la perspective qu’il se pourrait que je ne sois plus de ce monde dans les semaines qui viennent. Et je découvre une perspective fabuleuse à mon existence. Souvent, je me suis posé la question de façon théorique : s’il me restait un an à vivre, quels choix de vie ferai-je pour que je puisse entrer dans la mort sereinement et sans regret ? Aujourd’hui, cette question n’est plus théorique pour moi. Et je me rends compte que beaucoup de mes valeurs se transforment de façon encore plus radicale. Et beaucoup de choses qui me causaient du souci deviennent tellement secondaires...
> Et cette phrase de saint Matthieu résonne dans ma tête : que votre oui soit un oui, que votre non soit un non, (Matthieu 5:37).
> Serons-nous capable de dire non à l’infamie, au risque de notre vie corporelle ? Serons-nous capables de dire oui à ce que notre âme nous dicte de faire ? Serons-nous capable de nous mettre debout, quel que soit le prix à payer ?
> Tel est le cadeau que ce plan de pandémie nous offre en cette fin d’année 2009. Si nous sommes à la hauteur du défi (et je sais que nous le sommes), ce vaccin deviendra notre pierre philosophale et nous transformera en alchimistes, pour réaliser le grand oeuvre.
>
> Restons debout et conscients.
>
> Je vous salue avec le coeur.
>
> Jean-Jacques Crèvecoeur
> De Montréal (4 heures du matin, ce jeudi 10 septembre 2009)

13 juin 2009

Merci Alice

Alicejerome

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